Le 9 juin, votez pour des travailleuses et des travailleurs !29/05/20242024Journal/medias/journalnumero/images/2024/05/une_2913-c.jpg.445x577_q85_box-0%2C7%2C1262%2C1644_crop_detail.jpg

Européennes

Le 9 juin, votez pour des travailleuses et des travailleurs !

Les 81 candidats de la liste Lutte ouvrière-le camp des travailleurs sont issus du monde du travail.

Ouvriers, ouvrières d’usine, infirmières et infirmiers dans des établissements de santé, employés, cheminots, professeurs, techniciens et ingénieurs, facteurs… ils connaissent la réalité de l’exploitation patronale, des salaires trop courts, des horaires trop longs, des cadences trop dures, des conditions de travail qui usent prématurément.

Ils savent, pour le vivre quotidiennement au travail ou dans leur quartier, que la classe ouvrière, de toutes couleurs et de toutes origines, fabrique, emballe, fait circuler, calcule, gère, organise tout ce qui est produit dans cette société. À ce titre, les travailleurs, avec ou sans emploi, sont les mieux placés pour diriger cette société qu’ils font déjà fonctionner. Pourtant, ceux qui décident de la vie de l’immense majorité sont directement membres ou représentants politiques de la mince couche de parasites milliardaires qui s’enrichit à ses dépens.

Sur les listes Bardella- Le Pen, Bellamy ou Hayer-Macron, on trouve chefs d’entreprise, directeurs généraux, un ministre, un général, un ancien directeur de Frontex ayant fait l’objet de plaintes pour refoulement de migrants, un haut commissaire au plan, une directrice du cabinet d’un recteur d’académie, un directeur adjoint de la sécurité ferroviaire, etc.

Sur la liste Lutte ouvrière, on trouvera un ouvrier outilleur, un électricien, une aide-soignante, un professeur des écoles et une enseignante en lycée professionnel, des cheminotes… Tous font partie de ces 250 millions d’actifs européens qui subissent la même exploitation. Ils se veulent les porte-parole du monde du travail d’ici et d’ailleurs, de ses intérêts, pour des salaires corrects, des logements décents, la santé, l’école, les transports auxquels il a droit. Ils se veulent la voix de ceux qui refusent la résignation, et veulent faire renaître une conscience ouvrière, une conscience de la nécessité des luttes qui changeront le monde.

Le 9 juin, le seul geste utile est de voter pour son camp, pour le camp des travailleurs.

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