2e circonscription du Cher : Régis Robin invite à « la lutte collective » pour Lutte ouvrière24/06/20242024Presse/medias/articlepresse/images/2024/06/regis_robin.jpg.420x236_q85_box-0%2C0%2C584%2C329_crop_detail.jpg

Article de presse

Le Berry Républicain

2e circonscription du Cher : Régis Robin invite à « la lutte collective » pour Lutte ouvrière

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Régis Robin, Vierzonnais et enseignant à la retraite, est candidat Lutte ouvrière dans la deuxième circonscription. Sa suppléante est Martine Legoux, ancienne agent territorial spécialisé des écoles maternelles (Atsem) de Saint-Laurent

Régis Robin (Lutte Ouvrière) est candidat sur la deuxième circonscription du Cher. Il invite les travailleurs à « la lutte collective », pour que « les richesses et les énormes profits que nous produisons servent à améliorer nos conditions de vie. »

Régis Robin, Vierzonnais et enseignant à la retraite, est candidat Lutte ouvrière dans la deuxième circonscription. Sa suppléante est Martine Legoux, ancienne agent territorial spécialisé des écoles maternelles (Atsem) de Saint-Laurent. Le duo s’était déjà présenté aux législatives de 2022, et Régis Robin, ancien conseiller municipal de Vierzon – au sein de l’opposition lorsque Jean Rousseau était maire, et au sein de la majorité lors du premier mandat de Nicolas Sansu –, était candidat aux municipales de 2020. Il invite les travailleurs à « la lutte collective », pour que « les richesses et les énormes profits que nous produisons servent à améliorer nos conditions de vie », et non plus à exploiter les hommes, ni à détruire l’environnement.

En se présentant à ces élections, il souhaite aussi protéger les travailleurs immigrés, « combattre l’évolution réactionnaire de la société », ainsi que « les marchands d’illusions ». Pour lui, la seule unité possible, c’est celle « des travailleurs contre la classe capitaliste », des « travailleurs de tous les pays », dont l’émancipation « sera l’œuvre des travailleurs eux-mêmes ». Il souhaite également lutter contre « une politique qui conduit à des aventures guerrières. N’acceptons pas, dit-il, que le sort de nos enfants soit placé dans les mains de généraux et de politiciens qui se moquent de nos vies pour le plus grand bénéfice des marchands d’armes ». Il veut « dire non au racisme, au repli national, à la division entre travailleurs ».

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