Législatives 2024 : Michel Treppo, candidat LO dans la 4e circonscription du Doubs, la voix déterminée des travailleurs20/06/20242024Presse/medias/articlepresse/images/2024/06/image_0000_f567f2a5bd99e31425af73e61c7d5a92f6391638.jpg.420x236_q85_box-56%2C0%2C945%2C500_crop_detail.jpg

Article de presse

Législatives 2024 : Michel Treppo, candidat LO dans la 4e circonscription du Doubs, la voix déterminée des travailleurs

Illustration - Législatives 2024 : Michel Treppo, candidat LO dans la 4e circonscription du Doubs, la voix déterminée des travailleurs

C’est sa troisième candidature aux législatives sur la 4e circonscription du Doubs. Michel Treppo, Lutte ouvrière, va porter la voix des travailleurs avec son suppléant Georges Kvartskhava.

Malgré des scores jusqu’ici très confidentiels, les militants aimeraient convaincre les électeurs qui croient aux promesses du Rassemblement national.

Michel Treppo, LO, se présente sur la 4 e circonscription du Doubs avec son suppléant Georges Kvartskhava.

Photo AL

A eux deux, ils espèrent composer un ticket gagnant. Malgré des scores très confidentiels dans le passé, Michel Treppo, LO, est de nouveau candidat - pour la troisième fois - aux législatives sur la 4 circonscription du Doubs.

 L’ouvrier automobile de Stellantis, 55 ans, a choisi le même suppléant qu’en 2022. Georges Kvartskhava, est « un camarade de longue date », âgé de 88 ans, retraité de la même entreprise où il exerçait le métier d’électromécanicien.

Leur cheval de bataille ? « Porter la voix des travailleurs », encore et toujours, dans une société que l’ancien conseiller municipal de Valentigney estime « au bord de l’explosion ».

« Le système est gouverné par des groupes financiers qui ont tout le pouvoir. Nous militons pour que celui-ci revienne aux mains des personnes qui créent la richesse dans les ateliers. Historiquement, nous n’avons vu un gouvernement agir en faveur des salariés », tranche le Boroillot.

« Le Front populaire, on l’a vu à l’œuvre depuis Mitterrand »

Le candidat du parti trotskiste n’est pas tendre envers le Front populaire nouvellement formé qui ne serait qu’un ersatz de barrage contre le Rassemblement national (RN). « On le voit à l’œuvre depuis les années Mitterrand. À chaque scrutin, l’extrême-droite n’a cessé de monter. Il n’y a que deux mouvements qui ont changé les choses, le Front populaire de 1936 et la révolte de 1968 ». Le militant espère aussi convaincre les électeurs qui croient « aux promesses du RN » : « Regardez, concernant l’abrogation de la réforme des retraites, Bardella a déjà rétropédalé ».

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