Législatives. Olivia Lewi est la candidate de Lutte ouvrière à Saint-Lô21/06/20242024Presse/medias/articlepresse/images/2024/06/50_1_C_Olivia_LEWI_S_Fran%C3%A7oise_LEMIERE.JPG.420x236_q85_box-0%2C433%2C4608%2C3025_crop_detail.jpg

Article de presse

Législatives. Olivia Lewi est la candidate de Lutte ouvrière à Saint-Lô

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Olivia Lewi (à droite), est candidate aux élections législatives de juin 2024 dans la première circonscription de la Manche pour Lutte ouvrière. Françoise Lemière est sa suppléante (à gauche).

Olivia Lewi est la candidate de Lutte ouvrière dans la première circonscription de la Manche pour les élections législatives du 30 juin 2024. Françoise Lemière est sa suppléante.

Comme en 2022 (où elle avait obtenu 1,06 % au premier tour) et en 2017, Olivia Lewi, 51 ans, est la candidate de Lutte ouvrière aux législatives anticipées de juin 2024, dans la première circonscription de la Manche (Carentan-Saint-Lô). La militante repart avec la même suppléante qu’en 2022, Françoise Lemière, enseignante à Saint-Lô.

Olivia Lewi est formatrice d’enseignants de Paris. Il s’agit de sa quatrième candidature aux législatives, après une première tentative à Paris, en 2012. Elle s’était également présentée aux élections municipales de 2014 dans la capitale.

La candidate entend bien profiter de la manière dont Emmanuel Macron « incite les Français à s’exprimer », pour « donner la parole aux travailleurs et défendre leurs intérêts ».

« Prendre sur les profits, pour améliorer les conditions de vie »

Olivia Lewi reprend les thèmes chers à son parti et veut « prendre sur les richesses et les profits, pour améliorer les retraites et les conditions de vie ». Une de ses principales revendications : « Que personne ne gagne moins de 2 000 € par mois et une indexation des salaires et des pensions sur la hausse des prix. » Elle prône également une aide accentuée aux services publics. « Pour faire cesser la casse de l’école et de la culture destinée à financer l’armée. »

Olivia Lewi veut devenir la porte-parole du mode ouvrier. « Avec un programme de lutte, pour que les travailleurs disent leur colère, sans forcément passer par l’extrême droite. Ce sont des politiciens qui, comme les autres, soutiennent le grand patronat. »

D’ailleurs, pour la candidate de Lutte ouvrière, « le seul avenir de la jeunesse, c’est le communisme ».

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